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Elle quitta le foyer pour du « dur »

Cette histoire remonte à une année, lorsque Massan demanda la permission à son mari pour assister à des funérailles dans son village natal à Aného. Elle et son mari avaient déjà 4 enfants dont le premier venait de décrocher le BAC.

Au 2ème jour après son arrivée dans le village, un cousin lointain à elle l’invita à partager un pot, après la veillée funèbre. Les bouteilles se suivant, Massan se sentit légère et ne protesta pas lorsque Raymond posa la main sur sa cuisse et commença à la caresser dans la pénombre. Sous l’effet de l’alcool et des doigts du jeune homme, elle écarta un peu plus les cuisses, en signe d’invite. Raymond ne se fit pas prier et s’aventura dans la fente dont il toucha le clitoris. Le souffle de la dame indiqua qu’elle appréciait. « Et si on rentrait », souffla l’homme à ses oreilles. Mue par une envie irrépressible, elle le suivit jusque chez lui.

Raymond lui tritura le bout des seins, déclenchant une sensation jamais ressentie par la mère de famille. « Chéri, comment arrives-tu à me donner autant de plaisir ? », lâcha-t-elle. Le jeune homme lui mordit le bout des oreilles et elle se contorsionna telle une sangsue puis se colla de plus belle à lui. Raymond n’en demandait pas tant.

Il la débarrassa du pagne noué autour des reins et fit descendre le bout de tissu qui servait de culotte à Massan. Et quand il la coucha et saisit le clitoris après avoir écarté en compas les jambes, la femme poussa un cri et son corps fut parcouru de spasmes. Massan, malgré ses 4 gestes, n’avait jamais pris autant de plaisir.

Raymond la fouilla de sa langue au point d’annihiler toute résistance en elle. Et quand il la sentit assez cuisinée, il pointa la tête de son pieu à l’entrée de la grotte et entama une douce caresse.

Les grandes lèvres de la femme étaient mouillées à souhait. Et ses gestes montraient qu’elle était impatiente de sentir ce long organe en elle. Ses vœux ne tardèrent pas à être exaucés. Raymond l’investit jusqu’à la garde et s’immobilisa en elle ; il l’empêcha même de boucher, ayant aussi capté des bras.

Massan se débattit seulement des reins ; et dans un élan d’une violence qu’elle ne s’explique pas, elle grimpa aux rideaux et eut un orgasme dévastateur. Tout son corps fut saisi de tremblote.

Ce séisme ne s’était pas encore calmé quand Raymond la retourna sur le ventre et replongea dans la fente devenue huileuse à force d’être pilonnée. On eut dit qu’elle s’était libérée. Durant une bonne partie de la nuit, ils s’envoyèrent en l’air dans nombre de positions du kamasoutra.

Ainsi, il ne se passa plus de nuit où Raymond et Massan ne se voyaient. Bien évidemment, l’information s’est ébruitée. Mais la dame n’en avait cure ; elle vivait quelque chose qu’elle n’avait jamais connu durant ses 20 ans de mariage.

A la fin des funérailles, elle refusa de rentrer à Lomé et décida de rester au village. Elle avait fait le choix entre une vie de mère et celle de femme amoureuse ayant découvert la douceur du sexe dur qui sait lui donner du plaisir.

G.K.  

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