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La danse qui fait oublier le Coronavirus…

 

Le monde, frappé par la crise sanitaire liée à la Covid-19, passe des temps difficiles. Ça, tout le monde le sait et chacun y va de sa manière pour donner, un tant soit peu, un peu de sourire à la population. Sourire qui s’est altéré chez certains et a disparu carrément chez d’autres comme au royaume des Gnassingbé. La police de Zoug en Suisse a, elle aussi, trouvé un moyen pour donner du sourire aux helvétiques.

Les différents corps de métiers de la police de Zoug ont décidé de se déhancher au rythme de l’emblématique chanson « Jerusalema » de Master KG et Nomcebo Zikode. «L’objectif de notre vidéo est d’arracher le plus possible de sourire dans la population, rien que le temps d’une chanson », a expliqué Frank Kleiner, porte-parole de la police zougoise. «Il est évident que la situation actuelle, avec la pandémie de coronavirus, s’avère pénible pour beaucoup de gens. Et nous voulons montrer que les policiers sont des personnes tout à fait normales », a-t-il ajouté.

Apparemment ces policiers ont atteint leur objectif. La magie de la chorégraphie des différents corps de métiers de la police, se déhanchant allègrement sur ce qui est devenu l’hymne de la résilience pendant la pandémie, a opéré. Depuis le 13 janvier, date à laquelle la vidéo a été postée sur Facebook, elle a rencontré un étonnant succès, récoltant près de six millions de vues sur le réseau.                                                                                                        Il faut dire que le tube « Jerusalema » a connu un succès mondial sans précédent. Aux quatre coins du globe, jeunes, vieux, stars, personnalités politiques ont dansé sur cette musique devenue un challenge sur les réseaux sociaux : le fameux « Jerusalem Dance Challenge ».                                                                                                                             Pendant ce temps au « Gnassingbéland », en plus de la pandémie, les populations ont été victimes de bavures de tous genres de la part des forces de l’ordre et de désordre. Certains, malheureusement, en sont morts. Comme le dirait l’autre, le Togo, c’est le Togo, et la Suisse, c’est la Suisse. Chacun a sa manière de donner du sourire à sa population. Au pays du « jeune doyen », c’est avec des coups de matraques qu’on avait arraché des larmes aux populations pendant la première phase de « couvre-peur » instauré à la survenue de la pandémie.

 

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