Ca va se savoir

Café matinal

 

Depuis un temps, lorsqu’Ayélégan sortait pour aller balayer la devanture de la maison, elle se glissait furtivement dans la chambre de Fofonè, le fils du voisin pour un coup rapide et incognito. La demoiselle s’est à nouveau engouffrée dans la chambre du jeune homme qui l’attendait impatiemment pour prendre son café matinal. Comme à l’accoutumée, sans perdre de temps, elle se saisit de la colonne de chair, la branla un moment et la dirigea vers la cité. D’un geste prompt, le mec s’introduisit en elle. Puis il la cribla de coups en la tenant par les jambes.

Après longues minutes de bataille, la jeune femme invita Fofonè à la prendre par l’arrière-train. Elle se releva, exhiba sa croupe et qui s’introduisit à nouveau profondément en elle. Fofonè la câlina un moment avant de se déchaîner sur elle. Ayélégan avait les bras sur les rebords du canapé, les fesses en l’air pendant que le jeune homme la prenait avec hargne. Il claquait son bas ventre contre les fesses de la nana qui ne put s’empêcher de gémir. Fofonè malaxait et frappait ses fesses. Les nichons d’Ayélégan balançaient d’avant en arrière.

Fofonè glissa le doigt entre les fesses de la nana, la caressa un moment puis mouilla son majeur de cyprine et l’envoya dans la porte des artistes. Ayélégan remua le bassin suivant les mouvements de son ami qui la bourrait sans ménagement. Il accéléra le rythme lorsqu’il sentit que Ayélégan allait jouir. Soudain, elle cria son plaisir. Son antre se contracta autour de la matraque alors que le doigt de Fofonè était toujours coincé dans la moule à cake.

La partie reprit de plus belle lorsqu’elle revient à elle. Cette fois Fofonè la réinstalla dans le canapé et c’est elle qui prit les commandes. Elle s’empala sur la colonne de chair et chevaucha Fofonè comme un cheval sauvage. Ses nichons sautillaient dangereusement sous les yeux médusés de Fofonè qui grognait de plaisir. Ayélégan se déhanchait et se tourniquait sur l’engin comme si elle était en transe.

Fofonè était subjugué. Dans la foulée, un violent orgasme le foudroya. Une fois calmés, les tourtereaux se regardèrent en souriant. La nana sauta sur sa robe et la remit rapidement.  Elle donna un baiser et sortit de la chambre. Elle tomba nez à nez sur sa mère qui la fixa affreusement. « C’est donc vrai ce qu’on raconte ? Passe devant, on va régler cette histoire à la maison », rouspéta sa maman.

L.R.

 

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