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Encore un plaisantin sur la scène politique !

Les églises et les partis politiques sont les business qui marchent « faure » au 228. En 2020, le satané Covid-19 a mis du sable dans le « mangement » de beaucoup d’hommes dits de Dieu, en réalité des gens sans foi ni loi qui surfent sur la misère et l’ignorance des populations pour les gruger et se remplir les poches ; certains se sont reconvertis en hommes politiques. Qui est fou ?

Si le problème du Togo était une affaire de partis politiques, il y a longtemps que les populations seraient délivrées du joug de la dictature des Gnassingbé. D’autant qu’il existe déjà pas moins de 118 partis politiques pour une population d’à peine 8 millions d’habitants. Malgré le nombre pléthorique de mouvements politiques, les Togolais peinent à voir le bout du tunnel. N’empêche, les partis continuent de pousser comme des champignons. La 119ème formation politique vient de voir le jour. Son nom : le PDG (Parti des Gouverneurs). On dirait que ce parti est une société où le promoteur se présente en président-directeur-général (PDG). En réalité, c’est la conception que certains ont des partis politiques sous les tropiques. Tenaillés par la faim, la misère et ne sachant où donner de la tête, ils créent des formations politiques, histoire de se faire des sous pour entretenir leurs vieux os.

Cyrius Padabadi, le 119è plaisantin qui avait dirigé l’Observatoire togolais de l’église (OTE), se présente en Moïse pour faire traverser la Mer Rouge aux Togolais. « Nous sommes là, non pas pour l’intérêt personnel mais plutôt pour le peuple. Et ensemble nous allons faire beaucoup de choses. J’ai foi qu’avec le PDG la récréation est terminée », a-t-il dardé. Pourtant, tout laisse à penser qu’il abandonne l’église pour se convertir en homme politique pour ses propres intérêts. Ses détracteurs rapportent d’ailleurs que lors de la présidentielle de 2020, il avait appelé à voter Faure Gnassingbé.

Si en tant que responsable des églises, il n’a pas pu délivrer le peuple de Dieu, est-ce en politique qu’il réussirait ? « Un peu de quand même » ! Pourquoi ne rejoint-il pas directement le camp de son champion Faure Gnassingbé pour lécher un peu les doigts lui aussi ?

 

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