Ca va se savoir

Ça va se savoir: Douce brise

 

Depuis quelques semaines, une brise froide couvre la capitale, aiguisant la libido de certains. Il sonnait 19h 20 quand Manuella rentra dans la douche après avoir vu la rediffusion de son feuilleton préféré. Malgré la fraîcheur, elle opta comme à son habitude pour l’eau froide. Elle faisait sa toilette intime lorsqu’elle effleura son berlingot et sentit une onde de plaisir parcourir son corps. Subitement, ses pensées volèrent vers son petit ami Esso qui habitait à 45 minutes de son domicile. Elle réchauffa suffisamment son fourneau avant de sortir de la salle de bain.

Le feu aux fesses, elle décida de faire un tour chez son homme. Elle tira un trait sur les sous-vêtements et s’affubla d’un boubou au tissu léger avant de sauter sur une moto. Quelques instants plus tard, elle débarqua chez Esso qui était surpris, mais  heureux  de la voir. Il prit sa petite amie dans ses bras et sentit ses nichons s’écraser d’une façon étrange contre sa poitrine. En la caressant, Esso comprit qu’elle n’avait pas mis de soutif. Cette découverte réveilla sa désir. Il se demandait dans for intérieur si elle avait porté un slip. Esso attira le menton de Manuella vers lui et  prit ses lèvres.

Puis il glissa la main le long de son dos, puis le creux de ses reins avant d’atteindre ses fesses. Quel plaisir de les toucher ! Esso ne s’était pas du tout trompé. Manuella ne portait rien en dessous. Pendant qu’il l’embrassait, il prit plaisir à pétrir ses fesses. Son pilier de chair  se durcit au fur et à mesure qu’il palpait et malaxait le postérieur rebondi de sa chérie.

Serrés l’un contre l’autre, Esso entraina Manuella sur le lit et la débarrassa de sa tenue. La jeune femme sentit la chaleur du mandrin lorsque son mec s’allongea sur elle. Les tourtereaux  roulèrent sur le lit pendant que leur excitation monta en flèche. D’un seul coup de main, Manuella libéra le boa de sa tanière et après l’avoir bien secoué l’emboucha. Elle l’aspira de haut en bas en gobant les boules.

Esso émit un grognement sourd. N’arrivant plus à tenir, il invita Manuella à s’empaler sur son épieu. Comme en transe, la jeune femme faisait des va-et-vient fluides et dynamiques.  Esso était dans les vapes. Il subissait des assauts, la bouche entrouverte. Manuella irradiée aussi par le plaisir, ne pouvait s’empêcher d’ahaner tout en se redressant et en intensifiant ses chevauchées. Esso s’agrippa à ses seins et accompagnait les mouvements en soulevant son bassin.

D’un coup, il retourna son amie sur le ventre et l’enfourna. Les coups de reins étaient bien appliqués et si délicieux que Manuella couinait sans cesse. Dans une suite de grognements rauques, Esso projeta encore plus fermement son bassin dans les entrailles de sa dulcinée et les éclaboussa de sa semence.

L.R.

 

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