Libertinage

Quel culot « Cinatique » !

            On ne la kife pas. Bon, en fait, ça dépend. On vous mentirait si on disait ça dans l’absolu. On va vous faire une confidence, elle a une bonne carrosserie, c’est la plus « gnagognago » (pimpante) des ministres au féminin. Et puis, elle ne parle pas le français mécanique, mais celui de la Sorbonne, avec des R de crachat-là…Mais c’est tout. Le reste, elle nous embête avec sa connexion « cinamerdique »-là. Simple coucou avec fleurs rouges que tu veux envoyer à la petite, le message te regarde « kpeinnnn » comme ça et refuse d’aller à destination. Mais, on a commencé à la kifer depuis qu’on a appris le bon conseil qu’elle aurait tenté de donner à « Faure-vi ».Elle lui aurait conseillé de ne pas candidater en 2020 pour « manger » 4emandat. On continue à se demander où exactement, dans quelles circonstances tata Cina lui a donné ce conseil. Est-ce au cours d’un conseil des ministres? Est-ce au cours d’une audience qu’il lui aura accordée? Est-ce par appel téléphonique? Par message WhatsApp ? Dans quelle position (assise, accroupie, couchée…) était-elle avant de le lui dire ? Voilà autant d’inquiétudes qui triturent nos méninges.

On n’aura peut-être jamais de réponse à ces inquiétudes. On ne sait pas non plus si son conseil sera appliqué. Mais on retient simplement qu’elle a rendu service à l’humanité. Et avec ce rôle joué, on lui pardonne tous ses péchés et nous allons intercéder en sa faveur auprès de Baba God afin qu’il fasse aussi de même pour elle. Parce qu’elle a eu du cran pour oser donner ce conseil au « p’ti ». Car avec le jeune-là, il faut savoir quel conseil donner. Tu peux tout lui conseiller, mais il ne faut surtout pas toucher à son fauteuil. Si tu vas sur ce terrain, tu verras que ses yeux deviendront en « même tamment » rouges et il est capable de te manger tout cru. Ceux qui ont essayé l’ont payé cher, même certains de ses conseillers qui pourraient le mettre au monde,  et depuis, ils se sont tus « kpoooo »…C’est ici qu’on veut attirer l’attention de tata Cina de se préparer à affronter la haine du Prince. Il parait qu’il l’a même déjà blacklistée depuis ce conseil. Ça, c’est même pipi. Il pourra même la limoger un de ces quatre matins du « gouverne et ment » en guise de punition pour ce culot. Là où elle est, elle doit déjà se considérer comme ancienne ministre et commencerà déposer des dossiers de demande d’emploi. Déjà, on lui conseille d’aller s’inscrire à l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) et à sa cousine l’Agence nationale de volontariat (ANVT)….

En attenant Doing Business et le PND !

La minorité pilleuse est aux anges. Elle festoie et fait bonne chère depuis le rapport Doing Business aurait classé le royaume des Gnass parmi les meilleurs réformateurs au monde. Depuis les griots ont embouché la trompette de la propagande pour annoncer que le Togo est maintenant un paradis sur terre. Semble-t-il que dans le sérail, on n’a pas fait dans la demi-mesure. Lorsque que la bonne nouvelle du siècle est tombée, on aurait fait sauter le champougou à gogo. Les propagandistes assurent le service après-vente à merveille. Il se murmure qu’avec ce rapport bizarroïde, les « Gnassingbelandais » mangeront dorénavant 6 fois par jour sur instructions personnelles de « Faure-vi ».

Là où ça coince, c’est que le 1er et seul pays réformateur de Doing business se noie. Le royaume prend l’eau de toutes parts. Plusieurs quartiers de « l’Eau-mé » la belle poubelle sont inondés et les populations sont transformées en batraciens. Qui pour sauver les populations qui ont les pieds dans l’eau?

Manifestement, avec le fameux PND présenté comme la fin de la misère au « Gnassingbeland », il faut attendre le retour de Jésus afin de trouver des solutions au récurrent problème d’inondation à « L’eau-mé ». Des lacs artificiels se forment partout dans la capitale comme à Agbalépédo, à quelques mètres du palais présidentiel. Les Zémidjans qui ont le sens de l’entreprenariat, ont transformé la zone en lavage moto.

Sérieusement ce qui se passe actuellement dans certains quartiers de « L’Eau-mé » est terrible. Mais la situation ne semble préoccuper « Faure-vi » et ses copains qui sont beaucoup qui sont dans la lune avec le classement fumeux de Doing Business. Le quartier Bè-Kpota, derrière l’aéroport « intergnassional » est sinistré et est devenu une cité lacustre.

Bagages dehors ou posés sur les murs ou les toits des maisons, pieds dans l’eau et parfois jusqu’à la taille, regards hagards comme pour interpeller un potentiel sauveur.  Les routes ne sont plus carrossables et les activités sont paralysées. Voilà le calvaire que les vivent les populations. La situation est pareille dans plusieurs autres quartiers comme Adidogomé, Agoè, Tokoin-Gbadago, etc. En attendant Doing Business et le PND, les Gnassingbelandais ne savent plus où donner de la tête.

Mère… à 67 ans

Il n’y a pas d’âge pour avoir un enfant. Du moins, c’est ce que vous dira cette mémé de 67 ans qui a accouché d’une petite fille dans l’est de la Chine, assurant être la plus vieille Chintok à mettre au monde un enfant à la suite d’une grossesse naturelle. Héba !

La mémé, du nom de Tian, a accouché vendredi par césarienne dans la province du Shandong. La maternité de la ville de Zaozhuang a confirmé qu’une femme de 67 ans avait accouché dans ses locaux, mais sans pouvoir se prononcer sur les conditions de la conception, Mme Tian ayant pris contact avec l’hôpital alors qu’elle était déjà enceinte.

 « L’enfant est un don du ciel pour nous deux », a déclaré le pépé, que dis-je le père de l’enfant, lui-même âgé de 68 ans. Le bébé se prénomme d’ailleurs « Tianci », c’est-à-dire «Don du ciel » en « Hihon ».

S’il est confirmé que la grossesse de la mémé était bien naturelle, il s’agirait de loin d’un record mondial. D’après le Livre Guinness des records, la femme la plus vieille à avoir accouché d’un enfant conçu naturellement est une Britannique qui a mis un enfant au monde en 1997 alors qu’elle était âgée de 59 ans. Avec l’aide de la fécondation in vitro, le record mondial est détenu par une Espagnole, Maria del Carmen Bousada Lara, qui a accouché de jumeaux en 2006 alors qu’elle s’apprêtait à fêter ses 67 ans. Elle est décédée d’un cancer deux ans plus tard. Paix à son âme !

Dame Tian  était déjà mère de deux enfants, dont un fils né en 1977, juste avant l’entrée en vigueur de la politique de l’enfant unique imposée afin de freiner l’explosion démographique de la Chine. Cette politique a été récemment assouplie pour permettre désormais à tous les couples d’avoir deux enfants. Mais la nouvelle de la naissance de Tianci était critiquée sur le réseau social Weibo. « Ces parents sont des égoïstes », écrivait un internaute. « À leur âge, ils ne pourront pas s’occuper d’un enfant et la charge en retombera sur leurs enfants plus âgés». D’autres se demandaient si le couple serait pénalisé pour avoir enfreint la limite de deux enfants par famille. Que les jaloux laissent les « nouveaux » parents s’occuper de leur progéniture. De quoi se mêlent-ils ?

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